Mes montres connectées

Partenaire incontournable du smartphone, elle est aujourd’hui bien plus qu’une montre…

SONY Smartwatch 2
2013

La Smartwatch 2 est une évolution de la première Smartwatch de Sony. Elle offre un design retravaillé et quelques fonctionnalités supplémentaires. elle dispose d’un écran LCD à technologie transflective, lisible en plein soleil.
La SmartWatch 2 dispose d’un cadran-écran LCD tactile capacitif de 1,6 pouce avec une définition de 220 x 176 pixels, pèse 112 grammes et n’embarque pas une puce mobile de fou furieux, à savoir un SoC Arm Cortex-M4 mono-cœur cadencé à 180 MHz. Un port micro-USB est au programme, pour la recharge. Le Bluetooth 3.0, pour la connexion avec le smartphone et le NFC sont de la partie. Concernant la compatibilité Android, cette montre peut être appairée avec n’importe quel smartphone Android à partir du moment où ce dernier possède, au minimum, la version 4.0 Ice Cream Sandwich de l’OS mobile de Google.


SONY Smartwatch 3
2015

Si les derniers modèles de montres connectées Android Wear en date chez les grands constructeurs high-tech (ZenWatch d’Asus, G Watch R de LG ou Moto 360 de Motorola) cherchent à capter un bout de l’horlogerie traditionnelle, Sony préfère aborder la tocante-wear avant tout sous l’angle du produit connecté à porter, basique et tactile. Sa SmartWatch 3, que nous testons ici, dispose pour autant d’une plate-forme quasi commune au monde Android Wear : une puce mobile Snapdragon 400 de Qualcomm cadencée à 1,2 GHz, une mémoire vive de 512 Mo, quelque 4 Go de stockage interne et une connectivité Bluetooth 4.0.
Pour l’écran, la firme nippone opte pour un afficheur LCD transflectif — censé être plus efficace en extérieur qu’un LCD classique — de 1,6 pouce en 320 x 320 px. Mais dans la forme, Sony choisit l’angle sportif et rudimentaire, avec un bracelet en silicone et un cadran rectangulaire des plus sommaires. Pour accentuer sa démarche, le Japonais intègre un GPS dans le boîtier. Une première sur le marché et la promesse d’un fonctionnement sportif autonome. Comme pour toute montre Android Wear, cette montre nécessite d’être associée à un smartphone Android en version 4.3 minimum et équipé de l’application Android Wear (gratuite sur le Google Play Store).



SAMNSUNG galaxy gear s3
2017

La Gear S3 se décline en deux modèles, la Frontier que nous testons ici et la Classic. La Gear S2 proposait pour sa part une version Classic et une version Sport. On notera que l’apparence de la Frontier s’approche bien plus de celle de la S2 Classic, tandis que la Classic nouvelle génération profite d’un design plus urbain. Comprenne qui pourra cette logique. Du point de vue technique, les deux Gear S3 sont strictement identiques et s’éloignent d’ailleurs de leurs aînées par leur format plus imposant, avec un cadran de 46 mm, contre 40 mm sur la Gear S2. L’écran rond tactile est toujours de type Amoled, avec une taille qui passe de 1,2 pouce sur la S2 à 1,3 pouce ici (3,3 cm, encore une fois en 360 x 360 pixels). La bague rotative fait également toujours partie de la panoplie physique de la montre par Samgung. Elle permet, rappelons-le si besoin, de naviguer dans l’OS.

À l’intérieur de la Gear S3, outre un GPS autonome, on trouve une puce mobile maison, l’Exynos 7270 cadencée à 1 GHz, accompagnée d’une mémoire vive de 768 Mo (512 Mo pour la Gear S2) et d’une capacité de stockage (applications, photos, musiques) de 4 Go. Côté capteurs, la Gear S3 est pourvue d’un accéléromètre, d’un podomètre, d’un alti-baro, d’un cardio-fréquencemètre optique et d’une boussole. La connexion avec un smartphone est établie en Bluetooth. Le boîtier est étanche avec une certification IP68.

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